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Alors que se profile déjà le 50e numéro de CinéMarianne 2, la rubrique vous propose cette semaine une vidéo un peu spéciale, qui relève du défi : raconter l'histoire du court métrage en images en seulement 5 minutes!
Ce montage simplement appelé « 30 courts métrages en 5 min » a été concocté par le critique de cinéma Luc Lagier.
Il y raconte de manière chronologique et thématique son histoire du court, "une histoire du cinéma parallèle, faite de films un peu différents, un peu secrets, qui n'excèdent pas une heure", en s'arrêtant sur quelques uns des chefs d'oeuvres du genre. Parmi eux, Essai d'ouverture de Luc Moullet montré dans cette rubrique et bien d'autres, réalisés par les maitres du genre (Bill Plympton, Alain Cavalier, Laurent Achard...).
Source: http://www.marianne2.fr/Une-histoire-du-court_a202937.html
Drame français, réalisé par Alain Tasma , avec Anaïs Demoustier, Samy Seghir, Leïla Bekhti, etc.Durée : 01h55min Année de production : 2010
Synopsis : Anna Doblinsky, jeune professeur d’histoire géographie, fait sa première rentrée au collège Pierre-de-Ronsard à Certigny, une commune de Seine Saint-Denis. On l'a beaucoup mise en garde – poste difficile, quartier sensible. Tout de même, c'est dur. La violence ordinaire du verbe et des gestes, le désespoir de ceux qui, savent leur avenir bouché... Parmi ses éléves, il y en a un qu'elle remarque. Plus mûr, plus doué, plus délicat que les autres : Lakdar. Son rêve, c'est de faire de la bande dessinée. Il a du talent, il a été encouragé par un pro... Mais il lui est arrivé une tuile : une chute accidentelle, un plâtre trop serré aux urgences, résultat sa main droite reste inerte. Il ne s'en fait pas trop, il pense qu'on va l'opérer et qu'il pourra de nouveau dessiner. Mais un médecin plus courageux que les autres lui avoue la vérité : c'est définitif, il est infirme. La descente aux enfers de Lakdar commence là. Son rêve est brisé, la seule chance qu'il avait de s'en sortir anéantie. Anna, bouleversée, essaye de l'aider. La tante Zora aussi. Elles font ce qu'elles peuvent mais elles n'ont guère que de bonnes paroles à lui offrir et les bonnes paroles, Lakdar n'en veut plus. Il n'a plus rien, et quand on n'a plus rien il reste la violence.